En Syrie,
on joue à qui perd perd .
En cette présumée fin de guerre,
le pouvoir ne se prive surtout pas de copieusement expulser
pour ensuite raser les quartiers où s'était fomentée la révolte ,
au tout début de ce qui n'était alors que le "printemps Syrien "
Une enquête de Christophe Boltanski
pour la toujours très belle revue XXI
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